Selon les explications du directeur général, le candidat avait initialement présenté un bulletin n°3 de casier judiciaire vierge lors du dépôt de son dossier. Cependant, un nouvel élément transmis ultérieurement à l’école a montré que ce document comportait désormais des mentions, ce qui a entraîné la disqualification immédiate de l’intéressé. Le Dg regrette que l’information ait d’abord circulé sur les réseaux sociaux avant d’être portée officiellement à l’attention de l’ENMG. Il appelle ainsi les citoyens à signaler directement à l’établissement toute situation similaire, afin de permettre une réaction rapide et une enquête efficace.
« La lutte contre la corruption commence par le refus de toute tentative de paiement pour réussir le concours », a-t-il rappelé. Le directeur général insiste également sur l’importance de dénoncer toute fraude ou tout acte de corruption constaté lors des épreuves, estimant que la transparence et la probité doivent demeurer au cœur du processus de recrutement des futurs magistrats et greffiers.
Nikki Razaf








